Fines particules en suspension dans l’air, issues de sources naturelles (par exemple les volcans) ou de source anthropiques (gaz d’échappements, cheminées industrielles), elles servent de noyaux de condensation pour les gouttelettes des nuages.
En favorisant la formation de ces gouttelettes, petites et nombreuses, elles influent sur la durée de vie des nuages et renforcent leur pouvoir réfléchissant et contribuent ainsi à refroidir la Terre, mais dans quelles proportions ?
Les particules d’origine humaines ont déjà influencé le climat de manière considérable par ce que l’on a appelé le « Global dimming ».
Les pots catalytiques et des filtres à particules sur les grosses cheminées industrielles ont contribué à diminuer l’obscurcissement planétaire, qui nous avait entre autre protégé des effets réel du Réchauffement climatique.
Certains chercheurs, dont Paul Creutzen, préconisent déjà de répartir des aérosols de souffre dans les hautes couches de l’atmosphère pour nous protéger du réchauffement, mais ceci ne serait qu’un soin palliatif, sans effet sur les vrais causes.
Certains incriminent déjà des épandages à notre insu, et dont la problématique est regroupée sous le terme de « chemtrails »